Une pratique sérieuse dans un format court

Il existe une vexation qui ne se voit pas. c'est pas l'exténuation du oreille physique, ni même celui du psychologique. C’est une lassitude profonde qui s’installe si l'on porte une problématique pendant beaucoup longtemps. Une sujet floue, mouvante, mais persistante. Et qui, faute de se trouver dite à très bonne sons, finit par combiner à l’intérieur, assidûment. Dans ces moments-là, la nécessité de trouver devient mêler. Mais pas n’importe comment. On ne désire pas expliquer. On ne aspire à pas s’exposer. On veut avoir. Et recevoir. En calme. La voyance par sms est issue pour cela. Pour ces instants où l’on a quelque chose à solliciter, mais pas la force ou l’envie de détailler. Ce que ce format permet, on a une parole muette. Une demande écrite, expédié virtuelles, sans mise en scène. Une caractère de se manier métrique quelqu’un qui sait déchiffrer sans devoir tout expliquer. Dans ce fait, on utilise déjà une fraction de réponse. Écrire, c’est présenter. Formuler, on a ouvrir les yeux. Et ouvrir les yeux, cela vient déjà avancer. Beaucoup sous-estiment ce que le libre fait d’envoyer un énoncé à un voyant est en capacité de faire passer. On n’attend pas une explication globale. On attend un réflecteur. Quelqu’un qui, sans nous enfermer ni nous sélectionner, pourra concevoir l’essentiel. C’est ce qui est la vitesse du format. Il ne laisse pas de place au superflu. Le regardant devra toujours donner la préférence ses signes. Aller à l’essentiel. Et cette contrainte se fait un soutien. Elle oblige à nommer. À enlever de la confusion. La voyance sms, en cela, ne remplace pas une voix. Elle en est une autre. Moins présent. Moins sonore. Mais tout aussi vivante.

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